Vie du MEDEF

Revivez #LaREF22 - "Je soutiens un athlète"

Avec Dominique Carlac’h, Boris Derichebourg, Mathieu Flamini, Marie-Amélie Le Fur, Vincent Legendre, Stephane Pallez, Claude Onesta, Amélie Oudéa-Castéra, Paul Seignolle, Bernard Thibault et animée par Nicolas Rossignol.

Verbatim

Dominique Carlac’h : "On veut partager un rêve et une conviction. Le 26 juillet aura lieu la cérémonie d'ouverture des JO... d'ici là, on a 600 jours et nous voulons constituer une seule équipe de France, économique et sportive. D'où l'opération "Je soutiens un athlète"

Amélie Oudéa-Castéra : "On peut faire un matching formidable entre des chefs d'entreprise qui aiment le sport et des athlètes de haut niveau."

"Quand on est une entreprise, on peut aussi proposer un job à un athlète... on cherche par là à remédier à la situation qui, lors des jeux de Rio, montrait que la moitié des athlètes de la délégation française vivaient sous le seuil de pauvreté."

Boris Derichebourg : "Au delà de soutenir un athlète, on soutient le sport, la performance et la France."

"Un athlète de haut niveau intègre chez nous l'intégralité des collaborateurs pour amener la gagne."

"On parle simplement de 800 euros par mois pour un sportif qui va amener la gagne dans l'entreprise."

Stéphane Pallez : "La FDJ soutient le sport depuis 40 ans."

"Aujourd'hui et dans la perspective de 2024, cela prend la forme de la FDJ Sport Factory, à travers laquelle nous soutenons 27 sportifs."

Dominique Carlac'h : "Bien sûr nous n'aurons pas que des médaillés, mais il faut travailler sur le vivier."

Stéphane Pallez : "Toute entreprise peut s'y retrouver."

Claude Onesta : "Les sportifs s'entraînent, c'est ce qu'ils savent faire de mieux. On a de notre côté tout mis en oeuvre pour que les sportifs puissent vivre dignement. Un élément peut engager une dynamique supplémentaire, c'est la passion collective."

"Nous devons faire sentir à nos athlètes que tout le pays compte sur eux."

"Il y a beaucoup d'athlètes très méritants qui ont besoin de la main tendue des entreprises."

Bernard Thibault : "Pour qu'il y ait des sportifs de haut niveau, il faut qu'il y ait des sportifs et que plus de Français fassent du sport."

"Il faut engager beaucoup d'innovations pour faciliter l'accès au sport dans l'entreprise."

"Le sport est aussi un formidable levier pour le lien social et on en a énormément besoin."

Dominique Carlac'h : "Je suis ravie que ce soit Bernard Thibault qui ait parlé de productivité."

Marie-Amélie Le Fur : "J'ai eu la chance de rencontrer des entreprises qui m'ont fait confiance avant même que je devienne championne paralympique."

"Nous rêvons d'entreprises qui s'ouvrent à l'inclusion et je vous invite de ce fait à vous tourner vers les sportifs paralympiques, qui portent des valeurs extraordinaires à travers le sport."

Paul Seignolle : "Pour avoir des sportifs de haut niveau, il faut donner envie à un maximum de jeunes de pratiquer le sport. Quand on veut on peut. Le sport, c'est l'affaire de tous."

Marie-Amélie Le Fur : "J'ai eu la chance de rencontrer le groupe EDF, qui m'a fait confiance et qui m'a appris à verbaliser le fait que les sportifs pouvaient être utiles aux entreprises."

Vincent Legendre : "Nous avons monté notre propre team On se retrouve aujourd'hui avec 6 athlètes, à qui on espère donner les moyens d'atteindre leur objectif de participation aux JO et pourquoi pas de décrocher une médaille."

"Le retour sur investissement, c'est la disponibilité des athlètes vis-à-vis de nos collaborateurs."

Mathieu Flamini : "Les sportifs peuvent jouer un vrai rôle pour l'entrepreneuriat, car la performance, qui est un maître mot pour un athlète, se retrouve aussi dans l'entreprise."

Amélie Oudéa Castera : "On a beaucoup progresser dans la transversalité, car historiquement on voit dans tous les pays des grandes entreprises engagées dans le sport, mais aujourd'hui on va très au-delà à travers l'opération "Je soutiens un athlète". On est en train d'abattre des silos culturels, ce qui est très important."

"Aujourd'hui 25 % de la population française ne fait pas de sport du tout, 40 % de la population handicapée. Le sport en milieu professionnel est un des leviers important pour développer la pratique sportive française. La fiscalité  a un peu évolué également, donc on doit pouvoir y arriver."

"Avoir des sportifs de bon niveau, cela commence aussi à l'école."

"C'est maintenant que nos sportifs font ce qu'il faut ou pas pour être au top pour l'été 2024, les entreprises peuvent  les aider à évoluer dans un environnement serein."

Boris Derichebourg : "Nous sommes tous prêts, les sportifs ont besoin de l'entreprise et l'entreprise a besoin des sportifs."